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68 State

Jeudi 19 juillet 2012 à 8:11

Ah, la nuit de merde. 

Enfin, façon de parler, j'étais pas aux urgences ou totalement inconscient sur la chaussée non plus. J'ai juste passé mon temps à me réveiller. OUI. Mais qu'est-ce que c'est pénible ! Surtout quand c'est à cause de voisins qui parlent comme si on était au marché... A 2h du matin. Raclures de bidet, va !

Quand je déménagerai (croise les doigts !), j'espère ne plus être emmerdé par ces couillons là qui semblent oublier que nos murs sont en papier. Voire en carton dans le meilleur des cas (les murs porteurs). 

Ceci dit, à côté de ces abrutis qui vivent au-dessus de chez moi, j'ai la chance d'avoir la bonté incarnée en face de mon pallier. Des gens bien comme il faut, toujours serviables, toujours à proposer de l'aide, c'est à la fois super agréable et super dérangeant.

Ben, ouais, je suis pas aussi bon, moi. Faut dire que je suis tout le temps claqué, ça m'aide pas à être avenant et à penser à rendre service. Putain de vie de super-héros.

Tiens, en parlant de ça, le boulot m'attend. Yeepeeee.

Par Thallulah le Dimanche 22 juillet 2012 à 0:13
Peu de posts à lire (pour l'instant), mais déjà plusieurs points communs. Pas tant dans le quotidien, je crois que tout le monde en est plus ou moins réduit aux mêmes futilités (boulot, courses etc.), mais dans notre manière de voir les choses. Est-ce un début ? Bof, la vie sociale sur le cyber espace se conclue bien souvent sur la même note monotone... Mais qui ne tente rien n'a rien.
Tu as raison, c'est agréable d'écrire. Cela permet de coucher les choses, pixels noirs sur pixels blancs, se remettre les idées en place, en faire naître de nouvelles. Mais en ce moment, je trouve juste... je ne sais pas... un petit côté "à quoi bon" un peu défaîtiste, un peu triste... Cela revient souvent chez moi, ça repart tout aussi soudainement.
Affaire à suivre donc.
Au plaisir de te relire !

(ça fait un peu dépressif tout ça, alors qu'en fait, non. Bizarre ! Un mystère de plus en ce bas monde.
Mais comme dit Pennac : "Curieux, le chagrin. Le plus authentique des chagrins se défend contre lui-même en faisant des phrases. C'est cela, peut-être, la nécessité littéraire, ce besoin vital d'écrire autour...".
Ma vie va bien ces temps-ci, ceci explique surement cela. Il faudrait que j'essaye d'écrire le bonheur, mais c'est chiant, le bonheur. Et bien plus compliqué à retranscrire que les sentiments plus sombres.
Je m'y essaierai peut-être, si l'envie m'en prend ^^)
 

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